Agnès Varda définit le cinéma comme une "lumière retenue par des images" (Le Monde, 17 décembre 2008, critique des Plages d'Agnès)
1 commentaire:
Anonyme
a dit…
Mouais... Une strategie de la perception, plutot? Enfin, je ne vais pas lui apprendre son boulot, a Agnes, mais c'est vrai qu'elle ne me donne pas le grand frison que je trouve dans le cinema de Tarkowski, Hitchcock, Welles ou plus recemment Wong-Kar-Wai ou James Gray, j'y reviens, quoique sans adherer au "message" de ses films, inferieur a leur quantite de puissance esthetique (desole pour l'absence d'accents due a un clavier etranger).
Professeur de philosophie, auteur et éditrice d'ouvrages de philosophie (Belin et Hatier )
Mes derniers ouvrages:
Philosophie de A à Z (Hatier)
Cours particulier de philosophie (Belin) La philo en dix leçons (le webpedagogique)
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Mouais...
Une strategie de la perception, plutot? Enfin, je ne vais pas lui apprendre son boulot, a Agnes, mais c'est vrai qu'elle ne me donne pas le grand frison que je trouve dans le cinema de Tarkowski, Hitchcock, Welles ou plus recemment Wong-Kar-Wai ou James Gray, j'y reviens, quoique sans adherer au "message" de ses films, inferieur a leur quantite de puissance esthetique (desole pour l'absence d'accents due a un clavier etranger).
R.
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