Ferry/ Julliard, suite
Peu à peu nous comprenons quel respect est dû à nos "frères inférieurs" (Michelet)
L'animal n'est-il qu'une horloge qui marque les heures selon un programme préétabli? (Descartes)
Mais si l'animal ne souffrait pas, quel plaisir prendrait-"on" à le torturer, à arracher les pattes des grenouilles vivantes par exemple?
L'animal n'est-il qu'une horloge qui marque les heures selon un programme préétabli? (Descartes)
Mais si l'animal ne souffrait pas, quel plaisir prendrait-"on" à le torturer, à arracher les pattes des grenouilles vivantes par exemple?
"On n'a jamais vu un enfant s'amuser à dépecer une pendule" (Maupertuis)
Ferry et Julliard sont d'accord en tous points. Dans quelques décennies , on s'étonnera sans doute du manque d'égards actuel pour les animaux supérieurs.
Quant à Jacques Julliard, il ne supporte pas les corridas ( "cet exercice de sadisme collectif") . Il remarque que même en Espagne, l'opposition à la corrida s'accentue.
Progrès donc, mais qui reste circonscrit aux pays de tradition humaniste (Europe et pays anglo-saxons)
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