samedi 13 décembre 2008

Poznan












"Nous voulons survivre en tant que peuple et nation, c'est notre droit fondamental"


" l'atmosphère étant une et indivisible,nous périrons tous, riches et pauvres, si l'hypocrisie et les intérêts partisans continuent à faire école sur l'échiquier des négociations" (José Endundo, Congo)






1 commentaire:

Anonyme a dit…

Malheureusement, je crois que ce n'est pas seulement une question d'hypocrisie et de quelques méchants, quelque part, qui tueraient la planète. C'est une mécanique affolée, une machine qui s'est emballée (l'industrialisation, la frénésie conquérante de l'homme occidental, communiquée par contagion aux non-occidentaux...)

Pourquoi la Chine et l'Inde freineraient-elles leur développement pollueur alors qu'il leur permettra peut-être de prendre les rênes du monde (et une revanche contre les Empires coloniaux dans le cas de l'Inde ou d'autres)? Les anciens empires n'ont-ils pas beau jeu de prôner la retenue industrielle alors qu'ils ont causé la plus grande partie des dommages à la planète? Ils ont des soucis de riches et de pays sur le déclin. Les autres, les "émergents", ont toujours besoin de nourrir quelques milliards de citoyens.

Mais pour un paléo-anthropologue comme Yves Coppens, la planète en a vu d'autres et l'homme aussi. Il n'y a pas lieu de crier à la fin du monde. Sans doute sera-ce la fin de beaucoup de choses d'ici quelques temps, mais pas de tout.

Au diable les apocalypses! Il nous reste à jouir de l'art et des affinités électives dans le secret de nos jardins clos, entourés de hautes murailles (avec une porte ouverte pour le voyageur curieux), nous protégeant des bruits de la rue, de l'époque, des "gens"...

R.