mardi 8 décembre 2009

"Le réchauffement climatique est bien dû à l'activité humaine"


"Après des années de déni, même les Etats-Unis se sont rangés à ce constat désormais unanime. Copenhague sera donc, de ce point de vue, un moment unique dans l'histoire humaine: celui où toutes les nations reconnaissent qu'elles doivent agir de concert pour préserver l'avenir de l'humanité" Pierre-Yves Goffard, professeur à l'Ecole d'économie et directeur d'études à l'EHESS

Ce matin dans Libé

2 commentaires:

Loin du troupeau a dit…

"Même les Etats-Unis [...]" : si Obama veut dire les E-U, c'est omettre la grande quantité de chercheurs (professeurs au MIT et j'en passe) qui ne sont pas d'accord.
La citation vient d'un professeur d'économie, dont l'argument d'autorité ne peut que maigrement prévaloir.
Quand les Emirats seront d'accord sur ce problème, nous pourrons alors dire que le problème est réglé (il se trompe donc en affirmant le consensus).

Anonyme a dit…

Depuis quand la science se base-t-elle sur un consensus ? Si cela avait été le cas par le passé, la terre serait encore plate ! Ecologiste, j'ai cru au réchauffement pendant 20 ans et j'ai même écrit plusieurs articles alarmistes sur le sujet. Avant de me rendre compte, à la lecture de centaines d'autres articles, que j'avais tort. Seuls les imbéciles... Il faut dire qu'Allégre, le dégraisseur de mammouths qui agit comme repoussoir, ne donnait pas envie d'aller du côté des "sceptiques". Il faut lire ou écouter le Pr Vincent Courtillot, le PR Galam et d'autres qui remettent en cause la théorie officielle avec des arguments imparables. Et il faut être assez humble pour remettre en cause des opinions que nous nous étions forgées. C'est la mission de l'intellectuel. Voici un lien vers des articles contradictoires qui donnent à réfléchir: http://www.internationalnews.fr/article-tous-les-articles-sur-le-changement-climatique-climate-change-articles-40340480.html. Etre sceptique, ce n'est pas prôner la poursuite des pollutions actuelles, qui nous mène à la catastrophe écologique et qui détruit le Tiers-Monde.