mardi 10 novembre 2009

"Grandes écoles : un modèle en sursis"

C'est dans le Monde de l' éducation aujourd'hui, daté du 11 novembre (décidemment, tout fout le camp, en plus du climat!). Dans le même numéro: la malaise des "enseignants est une réalité" (quel scoop!) et aussi :la réforme de la section littéraire (ça c'est vraiment très bien!).
Surtout, ne ratez pas, dans le même numéro : le dessin de Plantu (Sarkozy et le mur...)

2 commentaires:

Panayotou a dit…

"M. Tapie, comment expliquez-vous le relâchement des élèves une fois admis en école ? Le sentiment largement répandu, tant à Jouy-en-Josas qu'à Cergy, c'est qu'on n'apprendrait rien sorti des classes prépa. Qu'en pensez-vous ?

Cette perception peut parfois être celle de très jeunes étudiants quelques mois après leur entrée dans une grande école. Compte tenu de l'extrême pression de travail instantanée qu'ils ont vécue dans les prépas, et qui les a considérablement préparés à l'avenir, ils sont parfois surpris des espaces de choix et de liberté que nous leur proposons à leur arrivée dans les écoles.

Après avoir considérablement développé le cerveau gauche, rationnel pendant les prépas, il appartient aux écoles de développer le potentiel de leadership, la maturité, la capacité d'initiative et d'autonomie, la vision intégrée des objets complexes, qui correspond à notre mission d'éducateur du supérieur." (http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/11/10/les-mots-universites-et-grandes-ecoles-sont-obsoletes_1265398_3224.html#ens_id=1264909)

Mais qu'est ce qui se cache derrière: le potentiel de leadership, la maturité, la capacité d'initiative et d'autonomie, la vision intégrée des objets complexes?

Tiens donc... Une belle enigme.
Moi je connais la réponse...

Lhansen-Love a dit…

c quoi la réponse?