dimanche 1 février 2009

De l'amour de soi à l'amour des autres.








A propos de l'amour: débat sur la bonté, c'était à Répliques, le 3 janvier 2009, avec l'excellent Michel Terentchenko et Philippe Chanial

Lire aussi cet indispensable éclaircissement :
Implacable bonté sur le blog de Michel Terestchenko, que je découvre aujourd'hui...
(et qui me rassure : on peut donc faire un bon usage des blogs! )


4 commentaires:

Anonyme a dit…

Madame Hansen-Love,
Avez-vous une adresse mail où je pourrais vous joindre pour vous demander quelques conseils d'orientation ?
Pascale Madelaine, professeur de philosophie, ancienne stagiaire IUFM au lycée Buffon (1992)

Anonyme a dit…

Bonjour,
Contrairement à mon habitude, j'ai lu votre lien vers Terestchenko commentant Dostoïevski. (J'ai tendance à considérer le blog comme un format d'expression personnelle, non de renvoi à d'autres expressions, ce que l'on peut faire dans les livres et les articles). Le fameux rêve d'Ivan est en effet passionnant. Un rêve de mystique, d'électron libre qui préfère Christ à l'Eglise, mais qui ne cède pas tout à fait à la tentation de croire - et devient fou, comme vous savez. C'est parce que Dostoïevski refuse la possibilité de l'athéisme à la Ivan. Il veut la foi d'Aliocha. Ivan fait figure de damné, de celui qui se damne en connaissance de cause. Le paradoxe est bien qu'il dise la vérité du monde éprouvé en ses profondeurs tragiques, et qu'il en meurt. Car la vérité est mortelle (a dit Nietzsche, qui aima beaucoup Dostoïevski). Donc pour Dostoïevski, il faut, consciemment, choisir la foi et la bonté d'Aliocha. Pour Nietzsche il faut suivre Ivan, mais avec le secours de l'art, qui aurait pansé ses plaies.

R.

Nathan a dit…

L'amour est un plat qui se mange chaud ..

Lhansen-Love a dit…

A P. Madelaine,
lhansen-love@noos.fr