jeudi 18 septembre 2008

Entre les murs : "des rapports humains réduits à des combats de coqs"


Je suis stupéfaite par l'analyse de Philippe Meirieu, très fine, très juste de mon point de vue.

J'y souscris entièrement pour ma part. Je suis d'accord pour souligner les qualités indéniables de l' "oeuvre d'art" mais aussi pour me démarquer complètement de la "pédagogie compassionnelle" ("l'imparfait du subjectif") prônée par le maître et aussi le cinéaste...
Je pense aussi pour ma part que ce portrait très flatteur de ces adolescents ne doit pas vraiment leur rendre service (à supposer qu'ils aillent voir le film) car ils les encourage dans un sens qui n'est pas bénéfique, il me semble..

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