lundi 7 septembre 2009

Taxe carbone et bonheur écologique


Ca c'était le Monde de samedi : l'exemple du Colorado

et aussi: Vive l'impôt sur l'energie de Hervé Kempf

Si cela vous a échappé, vous pouvez encore lire ce matin :


dans Libé


(Tiens tiens, tout se passe comme si les "médias", et aussi ceux que certains appellent les "élites" avaient un point de vue différent de la majorité des français....

Demandez donc à Edgar Morin, Yan Arthus Bertand, Al Gore, Michel Serres, Jean-Pierre Dupuy etc etc.. ce qu'ils pensent de la situation de la planète, de la fiscalité écologique, et des manoeuvres politiciennes démagogiques sur ce thème)

4 commentaires:

Panayotou a dit…

"L'impôt envisagé reste injuste dans le contexte d'une répartition des revenus particulièrement inégalitaire. Son acceptation suppose une réforme fiscale corrigeant ce désordre social : abolition du bouclier fiscal, refonte des niches fiscales, revenu maximal admissible"

Tiens cette phrase d'Hervé Kempf vous a peut être échappé???
En tout cas cela change de vos propos populiste d'hier!

Lhansen-Love a dit…

Je vois que vous lisez attentivement les articles!
Ce que je comprends , c'est que ce n'est pas la fiscalité écologiqe à venir qui est "injuste"n mais le contexte dans lequel elle est imposée...
Enfin vous avez un allié de poids: Claude Allègre, qui est contre la taxe carbone, ce qui est logique pour quelqu'un qui nie le réchauffement climatique et qui dit combattre le "totalitarisme écologique" ( Hulot = futur Staline potentiel selon Allègre)

Panayotou a dit…

Je ne supporte pas Claude Allègre, qui est un grand populiste et un grossier personnage - sans compter son opportunisme et bien qu'il ait été un grand scientifique-, et mon avis n'a rien à voir avec le sien - car le social il s'en fou; mais alors ! Enfin, je ne cherche pas à savoir à l'avance si je suis POUR ou CONTRE, je me demande toujours POURQUOI (en l'occurence j'ai bien dit que j'étais pour la taxe carbone, à condition que ce ne soit pas une fausse taxe écologique qui remplissent les caisses du déficit budgétaire, condition qui inclut donc la suppression du bouclier fiscal).

Lhansen-Love a dit…

bon, alors on est entièrement d'accord, Panayotou!