jeudi 6 décembre 2007

Pauline à la plage ("Qui trop parole se mesfait")


"On ne se figure point ce que l'on voit; l'imagination ne pare plus rien de ce qu'on possède, l'illusion cesse où commence la jouissance"( La nouvelle Héloïse)



A titre d'ilustration de ces mots célèbres de Rousseau, nous vons vu aujourd'hui Pauline à la plage (1983) de Eric Rohmer.
Ce film montre que l'amour ne peut porter que sur des "êtres de fuite qui déjouent toute possession".
C'est ce qu'explique Eric Zernik dans un texte qu'il consacre au désir et que vous trouverez ici



Le fiche de Pauline à la plage se trouve sur Cinemaparlant


Sur le thème "Le pays des chimères est le seul digne d'être habité" je vous recommande la lecture de Gatsby le Magnifique de Scott Fitzgerald

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