A la fin de sa maladie, Nietzsche se tenait pendant des heures entières si totalement immobile que des oiseaux venaient se poser sur lui.
Lui même (anticipant?) avait écrit à la fin de Zarathoustra :
"Alors les colombes voletèrent ça et là, se placèrent sur son épaule en caressant ses cheveux blancs et elles ne le fatiguèrent pas dans leur tendresse et leur félicité" (Daniel Halèvy, Nietzsche, Pluriel)
(Rembrandt : Oiseaux du paradis)
1 commentaire:
Vous croyez qu'il méditait ou qu'il déprimait ?
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