Oui c'est ça, c'est bien ce que je disais : quand un corps électoral se scinde en deux groupes de 50% chacun, c'est tout sauf un hasard.
Lire l'analyse de Thomas Piketty ce matin dans Libé: "Comment vote-t-on au parti socialiste?"
Et plus le score risque d'être serré , pour des raisons de fond, plus les organiteurs sont tentés pas les "irrégularités" ( au PS, tricherie, fraude est traduit pas "irrégularité") pour rétablir la balance.
Mais le problème c'est l'indiscernabilité (au sens de Leibniz) entre les deux lignes politiques proposées...
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