C'est le genre de questions un peu discutables qu'inventent les sondeurs aujourd'hui.
Les jeunes préféreraient ne pas ...
J.M. Dumay appelle cela l'immortalité infantile : en d'autres termes, l'infantilisme du désir d'immortalité
Préparation Sciences-Po, commentaires d'actualité, politique, cinéma, philosophie
2 commentaires:
Captivant sujet sur lequel je m'étais d'ailleurs penché, naguère ( http://www.neofantaisie.com/article-2150133.html )
Suprématie du "principe de plaisir", si on dit non ? Pas sûr. Tonton Sigmund la rangeait plutôt dans le domaine de l'"Unerkannt", la mort. Y-t-il un paradoxe à révoquer l'insaisissable ? Ou n'est-ce pas une forme de logique réaliste ? (« J’en veux pas de ce truc qui me dépasse, ça rentre pas dans ma cervelle, je sais bien que je vais mourir mais j’en VEUX pas de la mort »)
Ce serait plutôt à l'interrogateur qu'il faudrait renvoyer la question. "Voulez-vous mourir ou pas ?", qu'il demande.
« Voulez-vous me dire comment on fait pour ne pas mourir ?», qu’on lui répond.
OUi Alex, Freud dit qu'il n'y a pas de mort pour l'inconscient . L'angoisse de mort n'existe pas. Seule existe l'angoisse de cstration.. (on est bien avancé me direz-vous...)
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