Une belle illustration est fournie par le film que j'ai vu hier soir.
Ouvrons le débat avec Paris 8 philo
Ouvrons le débat avec Paris 8 philo
"La démocratie pousse les hommes à ne pas se rapprocher de leurs semblables; mais les révolutions démocratiquess les disposent à se fuir et perpétuent au sein de l'égalité les haines que l'agalité a fait naître" Tocqueville
(lire les chapitres 1, 2, 3 et 4 de la deuxième partie du tome 2 de la Démocratie en Amérique)
2 commentaires:
Je considère ce film comme une arnaque complète, un navet sous des airs de chef d'oeuvre: un scénario qui tient sur un post-it, l'évolution des personnages se cantonne au vieillissement et la psychologie est laissée de côté (DDL est exactement le même au début et à la fin du film, autrement dit le développement de la tendance individualiste est totalement éludé), les personnages secondaires n'ont que peu d'importance(la relation père-fils est insipide, à peine remontée par une scène de 4 minutes qui nous montre dans les grandes lignes un conflit naissant mais avorté), et si l'on peut objecter que cela est du à l'individualisme dévorant du héros, il n'empêche que la carence de scénario est évidente. Reste une plastique superbe et quelques scènes qui valent le coup (dont l'ultime qui manque finalement de folie).Et si Godart disait qu'un seul plan réussi peut faire un bon film, on ne m'enlèvera pas l'impression d'avoir été escroqué par Daniel Plainview de la même manière que les Sunday. En bref un film déroutant, mais qui m'a paru incroyablement fade.
pas d'accord.. pas le temps de vous répondre, je vais voir les chtis et ensuite j'ai mon cours particulier dominical...
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