jeudi 17 mai 2007

Vers un service minimum dans l'éducation nationale


Moi je suis pour (en tant que mère d'élève que je fus ou que je pourrais être)
Et vous?

5 commentaires:

Anonyme a dit…

1. je suis contre.
2. les propos de Sarkozy sont de la pure démagogie : est-ce le noeud gordien à trancher en priorité en ce qui concerne l'éducation nationale ?
3. j'ai des enfants. Une fille à l'école et une autre au collège. Et à chaque fois qu'il y eu grève le collège et l'école accueillait de toute façon les enfants. Les permanences dans les écoles sont déjà organisées pour la plupart des communes, les non grévistes accueillent les élèves des grévistes (et pour certains rattrapent des heures en heure sup'). Bref ce que propose Sarkozy existe déjà.
4. depuis quand le Président de la République se prend pour le ministre de l'éducation nationale ?

Lhansen-Love a dit…

Ah bon.. Ici à Paris les enfants sont renvoyés chez eux. Les lycéens en tout cas.

Anonyme a dit…

Moi je serais pour, du moment que ca reste vraiment du "service minimum", et à mon avis le plus dur sera de définir vraiment ce qu'est un service minimum et ce qui ne l'est pas.

De plus, le service minimum ne concerne pas seulement l'éducation, heureusement... Je pense qu'il y aura des effets bénéfiques pour les usagers dans les transports notamment.

Enfin, l'équipe gouvernementale n'est pas en place pour n'en faire qu'à sa tête chacun dans leur coin, mais pour mettre en place un projet, celui du P2R élu, qqst sa sensibilité politique.

Et à Aix-en-provence, les enfants sont également renvoyés chez eux...

Anonyme a dit…

NB: Le tout étant de ne pas remettre en cause le droit de grève bien entendu.

Lhansen-Love a dit…

IL y a de nombreux pays où le droit de grève est encadré.
Encadrer, limiter, ce n'est pas remettre en cause!
"Il n'y a pas de liberté sans loi ni où quelqu'un est au dessus des lois".
Alors faire grève oui.. mais non pas prendre les élèves- ou autres- en otage! On peut toujours inventer des formes de protestation audibles sans être violentes pour ceux qui n'y sont pour rien.
Personnellement je trouve que les fonctionnaires ne sont pas les gens les plus à plaindre aujourd'hui en France (même si on est mal payés). En conséquence je trouve qu'ils ( ou nous) devraient se concentrer sur des revendications en faveur de tous ( par exemple: solidarité avec les expulsés etc..), mais pas des revendications catégorielles.
Vous n'êtes pas d'accord?