Sur ce sujet, purement théorique, on peut lire, outre mes propres remarques, celles de Gérard Mermet, ("Appel aux citoyens inquiets et en colère"), ce matin dans Libé, ainsi que l'analyse de Alain Duhamel ( Rebonds :"La grève et le sentiment d'équité").
Pas inintéressant non plus l'édito au vitriol de Jacques Marseille : "Allons enfants de la rupture". (certes, un peu orienté..)
Je vous laisse, je vais compter le nombre de cheminots qui passent sour ma fenêtre (Boulevard de l'hôpital).
2 commentaires:
Vous donnez en lien l'édito de Jacques Marseille. Pouvez-vous me dire ce que vous avez jugé "pas inintéressant" dans son texte ? Je n'ai lu que des propos étroitement revanchards.
"Etroitement revanchards"... ? Revanche pour quoi, contre qui?
Je crois que Jacques Marseille est prof à la Sorbonne. Il doit se désespérer de constater le déclin de l'Université française attestée par le fameux classement de Shangaï. Je le rejoins sur ce point.
Mais aussi sur le fait qu'un gouvernement qui a été élu démocratiquement ne doit pas "reculer devant la rue".
Alors bien sûr on doit faire la grève, protester , manifester dans une démocratie, en particulier sur des questions de principe.
Mais une catégorie de la population (non représenative de la volonté générale) de peut pas exiger le retrait d'une loi votée par le parlement dont on sait qu'il applique la politique approuvée par la nation quelques mois avant. Cela revient à paralyser le pays et entraver les régles de la démocratie, ni plus ni moins.
Vous ne croyez pas, cher anonyme?
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