mardi 20 novembre 2007

L'état sauvage


Lorsque "la communauté abolit le blâme", les pulsions de mort s'exercent en tout impunité d'après Freud.

C'est ce qu'il se passe en ce moment à Paris.
Lire l'analyse de Jacqueline Remy

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour,

C'est un problème qui reste principalement dans le microcosme parisien, et qui, je pense, a du mal à préoccuper l'ensemble de la province.

Pour ma part, je dois cette année traverser Marseille tous les jours (Marseille étant bien plus étalé que Paris) et grève ou pas grève, pour peu qu'on ne se retrouve pas en plein milieu du défilé de manifestants, on ne voit guère la différence...

Et puis la conduite à Marseille.....

Cordialement.

Lhansen-Love a dit…

Ce n'est pas un microcosme, car les bagarres continuelles concernent surtout les usagers du RER, pas les heureux bobos du Marais. Mes collègues habitent pour la plpuart en grande banlieue, et ils se lèvent à -h du matin, et c'est galère le soir aussi pour rentrer.
Parfois ,on se dit que la retraite, ça a du bon...