Vous êtes nombreux à exprimer le désir de devenir journaliste.
Les écoles de journalistes sont difficiles, très sélectives: je ne vous apprends rien!
Il y aura des entretiens pour évaluer vos motivations et vos aptitudes.
Dès maintenant, il fait que vous manifestiez un authentique désir de faire ce métier. Ce qui implique une curiosité et un investissement d'ordre journalistique sans plus attendre.
Cela signifie:
Lire les jounaux et archiver dans le domaine de votre choix
Chercher des stages pendant vos vacances
Avoir des initiatives : écrire dans un journal, créer un blog , participer à de websites ou autres.
Si vous ne faites rien de tout cela, vous ne pourrez pas démontrer votre motivation autre que négative (pour ne pas être prof ?!).
Voyez le parcours de Clémentine Gallot, qui a commencé une activité de jounaliste dès la terminale (critique de cinéma sur le Net) puis qui n'a cessé d'enchaîner les stages.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
4 commentaires:
C'est en effet une filière très bouchée, un milieu qui marche beaucoup par piston. De plus, c'est en métier en crise, du fait du développement de la presse gratuite, et du "journalisme citoyen". Et quelques fois, pas besoin d'avoir fait une école de journalisme, il suffit d'avoir une belle plume. Courage...
En effet.. il ne faut pas non plus décourager les candidats. Les plus doués réussissent, relations ou pas.
Cela dit , on a davantage besoin de profs que de journalistes, non?
Le metier de journaliste est probablement plus passionant, du moins plus animé, non ?
Comment ça, plus passionnant?
J'ai exercé les deux, et j'ai choisi l'enseignement.
Certes le métier de journaliste est plus fascinant,plus exaltant, plus amusant;
Mais... car il y a un mais:
On idéalise beaucoup ce métier . Tout le monde n'est pas "grand reporter". Le rédacteur de base , dans un quotidien, fait aussi un métier assez fastidieux.
D'autre part... c'est un métier dans lequel il y a une obligation de réussite, une concurrence terrible; un risque constant de perdre son emploi pour cause de "restructuration " etc... Donc un stress considérable. Tous les collègues qui jugent ce que vous faites et qui hurlent de rire à la mondre faiblesse...
Nous avons eu une réunion des anciens du "Matin de Paris" au mois de juin dernier. Ceux qui étaient là semblaient très épanouis.
Beaucoup avaient abandonné le journalisme. Mais combien s'étaient suicidés, dans les années qui ont suivi la faillitte du Matin? Près d' une dizaine,je crois, mais je ne me souviens plus le chiffre exact.
Enregistrer un commentaire